ACTIVITES 2015

17/01/15 - Assemblée Générale Ordinaire ( exercice 2014 )

19/03/2015 à DREUX, l'AFCVM est présente à la cérémonie commémorative des accords d'EVIAN le 19/03/1962, mettant fin à la guerre d'ALGERIE

25/4/2015, l'AFCVM est présente à la cérémonie "Journée Nationale de la Déportation" retour des camps, dans les communes de IVRY LA BATAILLE et EZY SUR EURE

26/04/2015, l'AFCVM est présente à la cérémonie de "la journée nationale de la déportation - retour des camps" à DREUX (28).

26/04/2015, l'AFCVM est présente à la cérémonie de "la journée nationale de la déportation - retour des camps" à BAZAINVILLE (78).

07 mai 2015 à DREUX, commémoration de la bataille de DIEN BIEN PHU en Indochine, organisée par L'Union Nationale des Parachutistes ( Section de Dreux )

Commémoration de la bataille de Diên Biên Phu

jeudi 7 mai 2015 à 17h00, Place Métézeau.

 

La bataille de Diên Biên Phu est un moment clé de la guerre d'Indochine qui se déroula du 20 novembre 1953 au 7 mai 1954 et qui opposa, au Tonkin, les forces de l'Union française aux forces du Viet Minh, dans le nord du Viet Nam actuel.
 
Occupée par les Français en novembre 1953, cette petite ville et sa plaine environnante devinrent l’année suivante le théâtre d'une violente bataille entre le corps expéditionnaire français, composé de diverses unités de l’armée française, des troupes coloniales et autochtones, sous le commandement du colonel de Castries (nommé général durant la bataille), et l’essentiel des troupes vietnamiennes (Vie‡t Minh) commandées par le général Giáp.
 
Cette bataille se termina le 7 mai 1954 par arrêt du feu, selon les consignes reçues de l'état-major français à Hanoï. Hormis l'embuscade du groupe mobile 100 à An Khé, en juin 1954, la bataille de Diên Biên Phu fut le dernier affrontement majeur de la guerre d'Indochine. Cette défaite accéléra les négociations engagées à Genève pour le règlement des conflits en Asie (Corée et Indochine).
 

Le 8 mai 2015, l'AFCVM est présente à DREUX, pour la commémoration du 8 mai 1945.

Le 8 mai 2015, l'AFCVM est présente à ANDRESY pour la commémoration du 8 mai 1945.

L'AFCVM est présente à la fête du plan d'eau au CND du pays drouais avec 2 DUKW les 9 et 10 mai 2015 et a assuré plus de 700 baptêmes au cours du week end.

Le 16 mai 2015, l'AFCVM participe à DREUX à "la Nuit des Musées" sous forme d'une journée "portes ouvertes" dans son local associatif

27 mai 2015 à DREUX.  L'AFCVM est présente à la commémoration de "la journée nationale de la Résistance"

Y aurait pas comme un air de famille ?

30 mai 2015, l'AFCVM est présente à la kermesse de la Gendarmerie de DREUX

06 juin 2015, Méchoui de l'AFCVM

7 juin 2015, l'AFCVM est présente à DREUX à la commémoration en l'honneur des cheminots morts pour la France.

8 juin 2015 à DREUX, l'AFCVM est présente à la commémoration en l'honneur des morts au cours de la Guerre d'Indochine

Une commémoration a eu lieu, le 8 juin 2015 en fin d'après-midi, en mémoire des soldats victimes de la guerre d'Indochine. En petit comité, anciens combattants et élus ont déposé des gerbes de fleurs au pied du monument aux Morts. Toni Serio, président du comité d'Entente et Michel Delcayre, un ancien d'Indochine se sont recueillis en mémoire de tous ceux qui sont tombés pendant cette guerre lointaine. Le sous-préfet, le maire et la sénatrice ont également déposé une gerbe et rappelé le sacrifice de nombreux hommes.  ( journal l'écho républicain )

18 juin 2015 à DREUX, l'AFCVM est présente à la cérémonie commémorative de l'appel du 18 juin 1940 du Général de GAULLE

21 juin 2015, l'AFCVM est présente avec ses DUKW à la fête de la ville à ANDRESY (78)

L'AFCVM a participé au 4ème FESTIVAL AMERICAN SPIRIT à MAMERS (72) sous forme de son campement "NORMANDIE 1944" avec le renfort de l'association "Freedom's Angels"

Revue "VÉHICULES MILITAIRES" n° 64 AFCVM

Revue "VEHICULES MILITAIRES" n° 64

14 juillet 2015 à DREUX, l'AFCVM est présente à la Fête Nationale

Le 14 juillet 1789 : la prise de la Bastille

La fête nationale commémore d'abord le 14 juillet 1789, première journée révolutionnaire à portée symbolique. Cet été là, une grande agitation règne à Paris.Face au mécontentement populaire, le roi a réuni les Etats généraux, une assemblée des représentants de la noblesse, du clergé et du tiers-état. Ces derniers demandent une réforme profonde des institutions et, le 9 juillet, se proclament Assemblée nationale constituante. 

L'initiative inquiète le roi qui fait venir en secret des régiments suisses et allemands à proximité de Versailles. La rumeur court bientôt que les troupes royales se préparent à entrer dans Paris pour arrêter les députés. Le 12 juillet, un orateur harangue la foule qu'il appelle à réagir : c'est Camille Desmoulins, monté sur un tonneau, qui annonce une "Saint Barthélemy des patriotes". Au matin du 14 juillet, des Parisiens en colère vont chercher des armes aux Invalides, puis se dirigent vers la vieille forteresse royale de la Bastille, en quête de poudre. 

Après une journée de fusillade sanglante, et grâce au ralliement de gardes nationaux, les Parisiens s'en emparent et entament sa démolition. Au final, ils ne libèrent que quelques prisonniers et malfrats sans envergure. Mais cette vieille prison médiévale incarne l'arbitraire de l'Ancien régime. En l'abattant, les Parisiens font tomber un rempart de l'absolutisme. Et cette journée, qui marque le début de la Révolution, restera dans les mémoires comme un jour de liberté. Cependant la fête nationale fait aussi référence à une autre événement moins connu : la fête de la Fédération du 14 juillet 1790. 

16/08/2015, l'AFCVM est présente avec ses véhicules à la commémoration de la libération de DREUX le 16/08/1944

Au préalable à la cérémonie officielle Place Métézeau, l'AFCVM a déposé une gerbe aux pieds de la stèle de Sam ISAACS.

28, 29 & 30/8/2015, l'AFCVM est présente à MONS              ( Belgique ) pour TANKS IN TOWN 2015

Le 05 septembre 2015, l'AFCVM est présente au forum des associations à DREUX

10/9/2015 : l'AFCVM est présente pour la cérémonie de prise de fonction de M. Wassim Kamel Sous Préfet de DREUX

SAMEDI 12/09/2015 Fête de la Saint Michel des parachutistes de l'UNP de DREUX

PARACHUTISTES UNP AFCVM SAINT MICHEL
La section de l'Union nationale des parachutistes de Dreux a organisé le rassemblement de tous les parachutistes de la Région Centre pour fêter la saint patron l’archange Michel, le samedi 12 septembre 2015.
Une messe a été célébrée à la Chapelle Royale à 09h00, suivie d'une cérémonie commémorative au Monument aux Morts à la place Métézeau à DREUX.
Les parachutistes et les drapeaux se sont rendus en cortège au parc des expositions où un vin d'honneur et un banquet ponctuaient cette journée.
Les véhicules AFCVM formaient une haie d'honneur à la Chapelle Royale. Ils ont été exposés à côté du Monuments aux Morts durant la cérémonie.
Ils se sont rendus sous forme du "convoi du souvenir" au parc des expositions avec à leur bord, les vétérans parachutistes qui le souhaitaient.

19 & 20 septembre 2015, journées "portes ouvertes" à l'AFCVM à l'occasion des Journées Européennes du Patrimoine

Lors de ces deux jours, une visite "portes ouvertes" sera organisée le samedi et le dimanche au local associatif de l'AFCVM

www.journees-du-patrimoine.com

26/09/2015, l'AFCVM est présente à DREUX à la journée nationale d'hommage aux Harkis et forces supplétives

01/11/2015, l'AFCVM est présente à la Journée du Souvenir Français à la mémoire des Morts pour la France au cimetière de DREUX

07/11/2015 Conseil d'Administration de l'AFCVM par les membres participants

09/11/2015, l'AFCVM est présente à DREUX, à la commémoration du 45ème anniversaire de la mort du Général de Gaulle

Il y a quarante ans, le 9 novembre 1970, Charles de Gaulle s'éteignait à Colombey-les-Deux-Églises (Haute-Marne) où il s'était retiré après avoir quitté le pouvoir un an et demi plus tôt. Terme d'un destin exceptionnel pour l'histoire du XXe siècle commencé à Lille le 22 novembre 1890.

Cette fin d'après-midi d'un automne gris et pluvieux déjà bien avancé, la journée avait suivi son cours à Colombey. Le Général avait reçu son voisin René Piot, cultivateur de son état, pour une affaire de parcelle agricole à gérer. Un entretien cordial d'un bon quart d'heure sur tout et rien. René Piot se souviendra qu'après avoir évoqué un hangar qu'il construisait, le Général lui glissa : « Si vous êtes gêné, je peux vous aider. Vous savez, le Général n'est pas à plaindre. » Ensuite, le Général était allé faire une promenade dans le parc avant de joindre au téléphone son secrétariat particulier à Paris. Vers 17 h, nouvelle promenade puis retour au bureau pour quelques lettres.

Peu avant 19 h, il passa la tête à la cuisine comme il le faisait de temps à autre pour parler avec Charlotte et Honorine, les fidèles servantes.

Rupture d'anévrisme

Sur le coup de 19 h, le Général ferma les volets. « Ce fut, écrira Jean Mauriac, son dernier regard sur le jardin enveloppé de brume. »
Le Général alluma la télévision, s'installa à la table de bridge, prit les cartes pour s'atteler à une patience. Soudain, un cri : « Oh, j'ai mal, là, dans le dos. »

Il s'affaissa doucement sur le côté, retenu par le bras du fauteuil.

Madame de Gaulle se précipita avec Charlotte tandis qu'Honorine téléphonait au docteur Lacheny à Bar-sur-Aube ainsi qu'à l'abbé Jaugey, curé de Colombey. À son arrivée, le médecin ne put que constater que le Général sombrait dans le coma. L'abbé Lacheny lui administra les derniers sacrements. À 19 h 25, le coeur cessa de battre. Rupture d'anévrisme. Stoïque, sans une larme, Yvonne de Gaulle fut la seule à parler : « Il a tant souffert au cours de ces dernières années, c'était un roc. »

Sur sa demande, la nouvelle de la mort sera tenue secrète jusqu'au lendemain matin. Elle chargea l'abbé Lacheny de prévenir le contre-amiral Philippe de Gaulle alors à Brest, lequel ouvrit les courriers confidentiels que lui avait remis son père quelques années auparavant, les mêmes que Georges Pompidou possédait depuis 1952. « Je veux que mes obsèques aient lieu à Colombey... »

Au petit matin du 10 novembre 1970, la France est sous le choc. Colombey, 391 habitants, devient pour quelques jours le centre du monde. Dès la fin de matinée, une noria de voitures envahit le village, déversant des escouades de journalistes, proches, compagnons, curieux. Sans attendre la journée de deuil national, la France s'est mise comme en suspension. À Lille, sa ville natale, stupéfaction et émotion raconte La Voix du Nord qui a pu sortir une édition spéciale dès l'après-midi du 10. Un registre de condoléances, ouvert dans le hall du journal, grand-place, recueillera, plusieurs jours durant, des milliers de messages.

En mondovision

Le 12 novembre au matin, quatre-vingts chefs d'État assistent à l'hommage solennel à Notre-Dame de Paris. Retransmise en mondovision, la cérémonie est suivie par trois cent millions de spectateurs. À 15 h, tandis que toutes les églises de France sonnent le glas, le peuple de France, 40 000 anonymes entourant les proches - seuls sont admis les Compagnons de la Libération - accompagnent à sa dernière demeure « le plus illustre des Français ». Hommage simple, discret, infiniment respectueux, à l'image des douze jeunes gens du village choisis pour porter le cercueil recouvert d'un drapeau tricolore. À l'image de « cette paysanne en châle noir comme celles de nos maquis de Corrèze » suppliant un militaire de la laisser gagner l'église et qui obtient l'autorisation grâce à André Malraux (« Vous devriez la laisser, ça ferait plaisir au Général elle parle comme la France »). « Hommes et femmes de France réunis dans le silence », comme le souhaitait le Général.

À l'éditorial de La Voix du Nord - « Le Premier des Français est mort. La France qui continue a perdu celui qui, de toutes ses fibres, l'aimait peut-être le plus » -, répond l'hommage de Jean Marin, alors président de l'Agence France Presse, l'une des voix de la BBC, « Les Français parlent aux Français », pendant la guerre : « Entre ce spectacle - hors du commun, mais à la mesure du disparu et qui éclaire la nature des liens directs et charnels que le Général, par la voix, l'expression ou la présence, a toujours voulu maintenir entre lui et les Français - et la scène restreinte sur laquelle tout a commencé, le rapprochement est saisissant. Quel espace parcouru, quelle histoire vécue, quels retentissements, du petit studio de la BBC à Londres, d'où, le 18 juin 1940, part l'Appel solitaire, jusqu'à cette haute croix de pierre blanche du cimetière de Colombey dominant une mer de visages bouleversés, en ce 12 novembre 1970 ! Entre les deux, l'histoire de la France et la sienne dont il a cru passionnément qu'elles n'en faisaient qu'une. »

La Voix du Nord

11 novembre 2015 à DREUX, l'AFCVM est présente à la commémoration de l'armistice du 11/11/1918

05/12/2015, l'AFCVM est présente à DREUX à la cérémonie pour la Journée d'hommage aux Morts de la Guerre d'Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie